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Mes chers amis, Gérard et Gilbert, je me sens affreuse, sale et méchante, comme dirait ce cher Ettore Scola, de ne pas avoir pu être des vôtres pour ce qui aurait pu être la plus belle soirée de ma vie, en cette journée particulière. Je suis restée sur la terrasse, telle un fantôme mais, à Collobrières.
La santé, non pas la prison, la mienne n’étant pas au plus haut de la forme, je suis restée au pain, sans amour ni fantaisie, et l’aventura de la nuit fut celle de Cabiria.
J’espère que votre livre n’est pas épuisé, comme moi, et que j’aurai l’occasion puisque tous les chemins mènent à Collobrières, sans voler de bicyclette, de faire la Dolce Vita avec vous devant la fontaine de… Collobrières et quelques Pigeons, en se disant que la vie est belle !
Mi scusi tanto, a presto.
Nicole